Ruines inutiles
n'amasse ni fortune, ni amertume.
On aurait beau jeu d'en courir les lois.
Elles seraient lasses, éphémères ou posthumes.
D'un langage desserré, passage d'un pont qui ne s'y noie
messager heureux d'un bateau sans amure
de grâcieux danseurs par-delà les voies
chantent les instables enguichures.
Son amour prolifère, transporte
l'amour sans preuve, enchante
fier, se meut et porte
mais ne noie, ou ne se rend amer.
La nature est mon rêve
ses désirs ne suffisent pas
Mon réel s'en révèle
en saisissant la sève pour le meilleur choix.
Garder les inutiles instants
Le summum car par eux se voient
de l'amplitude les songes les fatras
les vérités, leur rêve et soi
Des "âmes sincères"
semblant jadis plus ou moins tristes
dont se brouillaient les pistes.
Céleste ou infime, d'une entropie nulle classification,
L'encyclopédie d'évolution dira sa vraie résolution.
Défi Ghislaine n°154
Merci de ta participation Apolonie pour ce 153.
RépondreSupprimerBravo c'est une superbe participation. Amitié Renée http://envie2.be/
RépondreSupprimerMerci, un texte heureux somme toute.
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