Printemps

De lui je sais si peu.

Quand l'hiver paraît long

que ses neiges ne fondent,

l'aronde annonce sa venue,

dont on ne rêvait plus.

On lui attribue les vertus

du renouvellement têtu.

On le rattache volontiers

au sens de la jeunesse,

et à l'insouciance 

avec son allégresse.

On prête aussi à sa saison

la venue des beaux jours,

et les montées de sève.

Un savoir de l'élan,

tel un jour qui se lève.

Ô Printemps,

Chauche, Favonius, 

Maïa, Ostara,

et autrement. Et aussi ailleurs,

les fêtes dans le monde

te sont encore fidèles;

éveille

l'énergie positive !










Défi n°147 - Ghislaine

Commentaires

  1. Une ode au printemps bien jolie Apolonie,
    Merci de cette participation printanière.

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  2. Jolie participation a ce défi qui est fort agréable à lire amitié

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  3. Merci Renée, amitié aussi et beau printemps !

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