Printemps
De lui je sais si peu.
Quand l'hiver paraît long
que ses neiges ne fondent,
l'aronde annonce sa venue,
dont on ne rêvait plus.
On lui attribue les vertus
du renouvellement têtu.
On le rattache volontiers
au sens de la jeunesse,
et à l'insouciance
avec son allégresse.
On prête aussi à sa saison
la venue des beaux jours,
et les montées de sève.
Un savoir de l'élan,
tel un jour qui se lève.
Ô Printemps,
Chauche, Favonius,
Maïa, Ostara,
et autrement. Et aussi ailleurs,
les fêtes dans le monde
te sont encore fidèles;
éveille
l'énergie positive !
Une ode au printemps bien jolie Apolonie,
RépondreSupprimerMerci de cette participation printanière.
Merci Ghislaine et bonne journée.
SupprimerJolie participation a ce défi qui est fort agréable à lire amitié
RépondreSupprimerMerci Renée, amitié aussi et beau printemps !
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